Archives par auteur: vmc

Appel à participation

 La commission Lol est en vacances et on manque d’idées pour les tout nouveaux stickers qu’on s’apprête à imprimer. Pour le message, y a le « Andra dégage, résistance et sabotage » mais pas que, on peut tout imaginer par contre faudrait que le nom du site apparaisse et encore mieux le mot BURE! Alors si tu/vous avez des idées rectangles en 80 par 100 (+ 2mm de marge de chaque côté en prévision des découpes) envoye les nous à associationdemalfaiteuses@riseup.net ou à la maison de la résistance, au 2 rue de l’église à Bure (55290).

p.s : 300 dpi minimum, en bonne résolution quoi! si tu scannes ton dessin par exemple, bisous.

Bure se déplace chez vous

Des chouettes hiboux seront en tournée pour présenter, discuter, échanger autour de Bure dans la partie sud de la France. Viendez nous rencontrer !

Voici les dates et les lieux prévus (le programme peut être encore amené à changer) :

Lyon :                8 novembre à 19h, à La Gryffe, 5 rue Sébastien Gryffe 69007 Lyon (dans le cadre de Novembre Libertaire)

Roybon :           10 novembre en soirée, sur la zad (et toute la semaine, un chantier collectif !)

Saint-Etienne :  11 novembre à 19h30 à l’amicale du Crêt de Roch, 16 rue Royet 42000 Saint-Étienne

Aubenas :         12 novembre à 18h au Labo’nheur, 29 boulevard Maréchal Leclerc 07200 Aubenas.

Florac :             13 novembre à 19h à la Salle de réunion rue Sipple Sert (derrière La Poste) 48400 Florac

Toulouse :         14 novembre à 12h à la faculté Le Mirail, 5 Allée Antonio Machado 31100 Toulouse

                         15 novembre à 20h chez canal sud radio, 40 rue Alfred Duméril 31400 Toulouse

                         16 novembre à 19h au local Piquemil, 6 rue Piquemil 31300 Toulouse

Gaillac :           17 novembre à 19h au Chinabulle, 47 rue du chateau du roi 81600 Gaillac

Bordeaux :       19 novembre à 20h au Samovar, 18 rue Camille Sauvageau 33800 Bordeaux

Aubusson :        21 novembre (plus d’infos bientôt !), organisé avec le collectif Stop Mines 23

« Il y a 25 ans, l’État a choisi le petit village de Bure dans la Meuse pour y enfouir les déchets nucléaires les plus dangereux. L’opposition n’a jamais cessée : Squat de terres agricoles, installations dans les villages alentours, bataille juridique, manifestations … Depuis plus d’un an des opposant.es occupent et habitent une forêt empêchant ainsi le début des travaux. Des chouettes hiboux du Bois Lejuc viennent parler de tout ça et plus encore ! Retour sur la lutte, projection, discussion … »

20 octobre: répétition générale d’expulsion?

Suite à un problème de communication concernant le « coup de pression » du vendredi 20 octobre, nous voulons rétablir quelques faits déterminants et rendre l’intensité de ce moment. Ce vendredi 20 octobre nous avons vécu l’attaque la plus sérieuse de la forêt depuis la 1ère expulsion du 7 juillet 2016. Ceci est donc un cri d’alarme qui a vocation à intensifier durablement la résistance, notamment sur les barricades.

Ce n’était pas un simple coup de pression

Les GM (gendarmes mobiles) sont arrivés de nuit, juste avant que le soleil se lève, phares éteints, en essayant de se faire discrets. C’est grâce à un projecteur installé sur la vigie qu’on a soudain pu distinguer les très nombreuses bandes réfléchissantes qui entouraient la vigie. Les occupant.e.s n’ont pas eu le temps de compter plus de 4 fourgons. A ce moment là les GM étaient en train d’embarquer les chicanes, à une cinquantaine de mètres de la vigie. La réaction immédiate des occupant.e.s fut d’enflammer la barricade devant la vigie, ensuite de quoi un cinquantaine de GM se sont mis en ligne devant la barricade en feu. Pendant que les hiboux en barricade ripostaient à cette attaque, d’autres sont allés vérifier plus à l’est du bois qu’il n’y avait pas de tentative d’encerclement. C’est là qu’ielles ont constaté que des GM tentaient de s’introduire dans le bois à travers des broussailles. Une autre barricade a donc là aussi été enflammée. Après une bonne demi-heure de résistance, les militaires ce sont repliés.

En tout cas le nombre de GM ainsi que leur tentative d’encerclement laisse clairement à penser qu’ils avaient l’intention, a minima, de faire des interpellations. Qu’il s’agisse ou non d’une répétition générale d’expulsion, un seuil a clairement été franchi dans la stratégie de la tension.

Alors que l’Andra est empêtrée dans son bourbier juridique et qu’elle essuie des échecs quant à son non-respect des règles environnementales, ses alliés de la préfecture répondent par la menace et la violence.

Nous avons besoin de tout votre soutien, que ce soit pour construire des barricades, les défendre, vivre en forêt, s’occuper de l’automédia, ou nous soutenir à distance, financièrement, matériellement ou par des actions décentralisées.

Merci de faire tourner cet article au maximum !

Contact : sauvonslaforet at riseup.net

Infos : vmc.camp

 

 

Appel à un automne paysan à Bure ! Occupons, cultivons, résistons !

  • Contre le projet de décharge nucléaire CIGEO et la nucléarisation du territoire
  • Pour la préservation des terres agricoles et leur avenir nourricier, et des forêts
  • Contre l’occupation et la militarisation du territoire par l’Etat et l’Andra
  • Pour l’autonomie paysanne et au-delà…

Dès les années 90, des paysan-ne-s se sont associé-e-s au large mouvement de résistance à la folie du projet d’enfouissement1 des déchets nucléaires à Bure. De semis collectifs en manifestations, ils et elles ont témoigné de leur attachement à ces terres menacées que d’autres avant elles-eux ont cultivé et préservé. Plus de 20 années de lutte n’ont pas entamées la détermination de chacun-e alors que l’État, ses services et ses élus, usent continuellement de méthodes insoutenables pour imposer un projet toujours plus contesté.

Personne ne peut être indifférent aux violentes conséquences de l’occupation du territoire par l’ANDRA. Car à travers ce combat, il ne s’agit pas seulement de défendre le droit des générations futures à un environnement sain mais aussi de s’opposer à toutes les injustices sociales et les violences infligées aux paysan.ne.s et populations locales.

Accaparement massif des terres et des forêts, pressions et intimidations policières permanentes, injection d’argent et achat des consciences, … la présence de l’ANDRA vient condamner durablement la perspective de vivre tout simplement dans ces villages de Meuse/Haute Marne, ni même d’y penser des installations agricoles ou autres.

C’est en réaction à cette privation d’avenir que de plus en plus de paysan-ne-s et d’habitant-e-s élèvent désormais la voix et s’engagent pleinement dans la lutte. De Gudmont à Mandres-en-Barrois, ils et elles crient leur colère, prêtent un bout de champ, leur matériel, sont présent-e-s dans les manifestations…

Cette dynamique féconde n’a pas été et n’est toujours pas sans entrave. Les agriculteurs-trices sont à la fois les premiers à avoir subi malgré eux les impacts d’un projet qui n’est pas autorisé2, et à connaître les difficultés que l’on rencontre lorsque l’on s’oppose à la volonté de l’Andra, qui nous propose un avenir à son image… irresponsable, irrespirable et dont elle seule fait partie ! De récents procès, incompréhensibles, en témoignent.

Il est indispensable qu’ils/elles sachent qu’ils et elles sont loin d’être seul-e-s.

Nous soutenons massivement les paysan-ne-s et l’occupation des terres

Notre opposition à ce monstrueux projet rejoint tant d’autres luttes par le monde face à la voracité du pouvoir économique et industriel, face à l’exploitation et à l’oppression des territoires et des populations les plus fragiles : qu’il s’agisse de la construction d’un aéroport, d’un pipeline, d’une autoroute ou d’une décharge…même combat ! En défendant l’espace et les ressources qui nous font vivre par l’occupation d’un village, d’une ferme, d’un champ ou d’une forêt, nous remplissons notre devoir de prendre soin de la terre et nous exigeons la reconnaissance de notre droit universel à cette terre.

Nous revendiquons collectivement le droit d’occuper et de travailler la terre pour nous nourrir, ainsi que les habitant-e-s autour. Ce droit collectif est supérieur aux seuls intérêts de l’industrie nucléaire, de la SAFER, et d’une poignée de notables qui veulent tracer une orientation industrielle mortifère pour la région. Les 3200 hectares de terres agricoles et forestières que l’Andra a accaparé doivent rester à un usage nourricier et collectif.

Rien ne nous empêchera de continuer à lutter avec les moyens dont nous disposons et de construire d’autres possibles avec toute notre joie.

Nous, personnes, collectifs, associations en lutte contre la poubelle nucléaire CIGEO et son monde, appelons à nous mobiliser nombreux/euses dans la suite des actions pour défendre le bois Lejuc et bloquer les travaux,

Nous appelons à un automne paysan à Bure pour construire d’autres avenirs désirables que le désert nucléaire et social.

Fin octobre – début novembre, occupons les terres accaparées par l’ANDRA (la date précise sera communiqué dés que possible en fonction de la météo) : Nous nous rassemblerons pour semer du seigle sur 2 ha de terres cultivés par la résistance depuis 1 an et demi sur le tracé de la voie ferrée de l’Andra !

La suite des temps forts du début d’automne :

  • 22 octobre, dans le bois Lejuc: construction d’une cabane solidaire et premières discussion inter-comités de lutte (http://burestop.free.fr/spip/spip.php?article859)
  • 24 octobre : appel à un rassemblement à partir de 9h devant le tribunal de Bar-le-Duc en soutien à Jean-Pierre Simon qui recevra son délibéré. Puis, le soir, concerts à la Gare de Luméville.
  • 26 au 29 octobre: week-end de chantiers et de renforcement de l’occupation du bois Lejuc !
  • 28 octobre : marché paysan dans les rues de Bure, pour renouer des liens les habitant-e-s, leur territoire, et ce qui y est cultivé, et défendre des idées de souveraineté alimentaire !
  • Fin-octobre début-novembre : action collective de semis sur les terres squattées de l’Andra !
  • ! CONFIRMÉ : CHANGEMENT DE DATE ! REPORTÉE AU 25/26 NOVEMBRE : 25 novembre assemblée de lutte du mouvement contre la poubelle nucléaire (à Couvertpuis) & 26 novembre suite de la construction de la cabane solidaire / et autres chantiers dans le bois Lejuc

On ne nous atomisera jamais ! Des radis, pas du radium !

Listes des signataires : des habitant-e-s de Bure et des environs, Confédération Paysanne nationale, Confédération Paysanne du 55, EODRA, CEDRA, Habitants Vigilants de Gondrecourt-le-Château, ASODEDRA, Bure Zone Libre.

Infos : vmc.camp

Contact : sauvonslaforet@riseup.net

Contact presse : 06 13 38 18 28  &  07 53 54 07 31

1Les gendarmes du nucléaire (ASN et IRSN) se joignent désormais aux craintes et aux critiques exprimées de longue date par des experts indépendants et par les associations, en mettant en doute le dossier -explosif- de sûreté Cigéo produit dernièrement par l’Andra

2Les travaux relatifs au centre d’enfouissement restent à ce jours illégitimes: la simple demande d’autorisation de création de CIGEO étant repoussée à 2018.

Le 24 octobre tous-tes à Bar-le-Duc en soutien aux paysan-ne-s en lutte !

RASSEMBLEMENT DE SOUTIEN

Aux camarades paysan-ne-s en lutte contre l’installation de la décharge nucléaire

 

Place Saint-Pierre devant le tribunal correctionnel de BAR-LE-DUC

8H30 et pour la journée

MARDI 24 OCTOBRE 2017

Le 12 septembre dernier, le pro-vo-cureur de Bar-Le-Duc, au terme d’une plaidoirie maladroite mais volontairement séditieuse, accusait Jean-Pierre Simon, agriculteur à Cirfonfontaines, « coupable du choix de ses alliances et convictions ».

A l’occasion de ce procès incompréhensible (l’ANDRA n’ayant même pas demandé de dommages et intérêts : drôle de victime!), le procureur a tout de même requis 3 mois de prison avec sursis à l’encontre de Jean-Pierre.

L’attitude ultra justicière de cet habituel procureur acharné envers les opposant-es à Cigéo révèle en réalité un renforcement autoritaire de l’Etat et de son pouvoir judiciaire qui entend criminaliser celles et ceux qui rejoignent la lutte commune contre l’ANDRA et sa folie nucléaire, et plus généralement les militant-es des mouvements sociaux.

En installant un climat de tension et une présence policière permanente sur le territoire de Bure et ses environs, la préfecture, main dans la main avec l’Andra et certains élus locaux, cherchent à provoquer et à viser les populations installées dans les villages et qui gênent, par leur présence et par leurs activités rurales ou militantes, l’avancement du projet Cigéo illégitime.

N’acceptons pas cette logique de l’arbitraire, de la provocation et de la condamnation de celles et ceux qui agissent pour l’avenir de ce territoire et de ses habitant.e.s.

Rendez-vous la journée du 24 octobre, à l’occasion du rendu du délibéré et de l’audience de nos amis paysans.

Soyons nombreuses, nombreux !

Contacts :

Romain Balandier : 06 13 38 18 28

Mathieu Pagès : 06 38 28 85 39

Béatrice Quétant, animatrice de la Confédération paysanne de la Meuse : 03 29 86 10 50

Andra pas content, gendarme grognant

Nouveaux coup de pression policière sur les barricades du bois Lejuc, alors que l’Andra s’enlise dans ses demandes d’autorisation. Récit et appel à occupation.

Ce matin à 6h, quatre fourgons de gendarmerie se sont avancés jusqu’à la barricade mobile à trente mètres de la vigie sud et ont embarqué cette dernière, sans aucun doute pour dépôts d’ordures sur la voie publique. Devant cette équipe bleue très entreprenante, les chouettes hiboux présent.e.s prirent la décision de mettre le feu à la première barricade fixe devant la vigie. S’ensuivit une demie heure de face-à-face avant que, n’en mettant pas leur main au feu, les casqué.e.s présent.e.s retournent se morfondre dans leurs tristes casernes.


Dans la lignée de toutes les précédentes, cette stratégie de pression policière et de militarisation témoigne de la situation de faiblesse de L’Andra et du projet Cigéo. Il y a seulement cinq jours, la commission environnementale laissait sans réponse (et rejetait de fait) sa demande de défrichement dans le bois Lejuc, la contraignant à produire ses études d’impact environnemental, renvoyant aux calendes une date légale de début des travaux. pour ne pas perdre la face, la préfecture de Meuse choisit de répliquer par l’intimidation, à laquelle les chouettes hiboux répondirent par le feu.

Aujourd’hui plus que jamais nous vous invitons à venir habiter le bois et nous aider à préparer l’hiver. Ce 22 octobre nous commencerons la construction de la cabane solidaire. Le 24 à Bar-Le-Duc se tiennent deux procès de paysans amis ; et jusqu’à début novembre de nombreux chantiers sont prévus à la barricade nord ! Ramenez vos outils, vos matériaux, vos rires et vos chants, n’hésitez pas à venir habiter pour quelques jours, et n’hésitez pas non plus à rester six mois ! Aujourd’hui il pleut, mais il fait chaud autour des barricades.

 

Week-end de chantiers en forêt

L’hiver approche à grands pas et les chouettes et hiboux du Bois Lejus se préparent à hiberner plus que jamais! Suivant le chantier de la cabane solidaire le 22 octobre et le rendu du procès de Jean-Pierre le 24 octobre à Bar-le-Duc, on invite toutes personnes motivées à rester ou nous rejoindre en forêt du 26 au 29 octobre afin de réaliser différents chantiers; entres autres un dortoir collectif (chauffé!) à la Barricade Nord, une cuisine d’hiver et de nouvelles barricades. La Maison de la résistance sera là comme d’hab pour vous accueillir et il sera possible de mettre en place une navette en voiture de la forêt à la maison (au besoin). L’idée est de se donner rendez-vous tous les matins à 10h à la Barricade Nord pour établir les besoins des différents chantiers et ensuite se diviser petites équipes.
Ce sera l’occasion de faire des rencontres, d’apprendre à bricoler et de partager nos différents savoirs en mode convivial. Que vous ayez vos outils ou non, que vous sachiez construire des château-forts ou des châteaux de sable, toutes formes d’aide seront les bienvenues! Et comme l’ANDRA est en attente de recevoir une autorisation de défrichage d’ici novembre, n’hésitez surtout pas à vous installer avec nous à court, moyen ou long terme. Nous ne serons jamais trop pour défendre le Bois Lejus et faire capoter leur projet de poubelle nucléaire!
Infos pratiques pour la semaine de chantiers:
    Quand? du 26 au 29 octobre, rendez-vous tous les matins à 10h
    Où? à la Barricade Nord
    Où dormir? dans une des cabanes en forêt avec un bon duvet ou à la Maison de la résistance
    Comment venir à Bure? voir le lien ici.
    Quels sont les besoins de matos? bois, planches, scies, marteaux, visseuses, clous, vis, baches, poêles à bois, etc.
    Pour une liste exhaustive des besoins de matos voir le lien ici.

« CONSTRUISONS LA CABANE SOLIDAIRE ! » & Premier moment inter-comités au Bois Lejuc – Dimanche 22 octobre 2017

Le 22 octobre, nous allons poser les premières fondations d’une cabane solidaire construite par tous et par toutes dans le bois Lejuc. Vous êtes les bienvenu-es ! L’idée est de rebâtir le « couarail »-cette pièce qui se veut dans la tradition du coin, un lieu de rencontre et d’échange. La cabane est un lieu ouvert, elle comportera un espace d’accueil et un dortoir. Voici le programme de cette journée dans les bois, dans les couleurs flamboyantes de l’automne ! – 11h : rdv à la barricade nord pour le *remontage du tipi Bois debout*. Cette construction faite de planches colorées, porteuses des messages de soutien et d’espoir venus de partout, avait été montée une première fois au festival Bure’lesques, et doit maintenant trouver sa place définitive au Bois Lejus libéré.

12h30 : repas tiré du sac, amenez de quoi partager et nous on essaiera de faire une soupe chaude !

après-midi : lancement du chantier d’une nouvelle « cabane solidaire », porté par des assos et sympathisant.es, toujours plus nombreux-ses à s’impliquer dans l’occupation du bois. Amenez votre matos de construction ! Toutes les infos et besoin sur http://burestop.free.fr/spip/spip.php?article859

16h30 : goûter-apéro en forêt (ou à la maison s’il fait moche) pour commencer à discuter des comités de lutte. Profitons de cette journée de chantier pour nous rencontrer et discuter de la constitution des groupes locaux, des actions décentralisées, des envies/attentes de chacun-e-s, réfléchir à de futures échéances communes, partager du matos de diffusion, etc ! Ce temps de discussion sera un premier jalon pour se rencontrer avant de penser des rencontres inter-comités plus larges dans quelques mois !

Rappel ici se trouve la liste des besoins en matériel que chacun et chacune pourra ramener lors de la journée de rassemblement du 22 octobre en forêt : /2016/11/13/liste-besoin-matos-foret-au-12102016/