Fil info

20 octobre: répétition générale d’expulsion?

Suite à un problème de communication concernant le « coup de pression » du vendredi 20 octobre, nous voulons rétablir quelques faits déterminants et rendre l’intensité de ce moment. Ce vendredi 20 octobre nous avons vécu l’attaque la plus sérieuse de la forêt depuis la 1ère expulsion du 7 juillet 2016. Ceci est donc un cri d’alarme qui a vocation à intensifier durablement la résistance, notamment sur les barricades.

Ce n’était pas un simple coup de pression

Les GM (gendarmes mobiles) sont arrivés de nuit, juste avant que le soleil se lève, phares éteints, en essayant de se faire discrets. C’est grâce à un projecteur installé sur la vigie qu’on a soudain pu distinguer les très nombreuses bandes réfléchissantes qui entouraient la vigie. Les occupant.e.s n’ont pas eu le temps de compter plus de 4 fourgons. A ce moment là les GM étaient en train d’embarquer les chicanes, à une cinquantaine de mètres de la vigie. La réaction immédiate des occupant.e.s fut d’enflammer la barricade devant la vigie, ensuite de quoi un cinquantaine de GM se sont mis en ligne devant la barricade en feu. Pendant que les hiboux en barricade ripostaient à cette attaque, d’autres sont allés vérifier plus à l’est du bois qu’il n’y avait pas de tentative d’encerclement. C’est là qu’ielles ont constaté que des GM tentaient de s’introduire dans le bois à travers des broussailles. Une autre barricade a donc là aussi été enflammée. Après une bonne demi-heure de résistance, les militaires ce sont repliés.

En tout cas le nombre de GM ainsi que leur tentative d’encerclement laisse clairement à penser qu’ils avaient l’intention, a minima, de faire des interpellations. Qu’il s’agisse ou non d’une répétition générale d’expulsion, un seuil a clairement été franchi dans la stratégie de la tension.

Alors que l’Andra est empêtrée dans son bourbier juridique et qu’elle essuie des échecs quant à son non-respect des règles environnementales, ses alliés de la préfecture répondent par la menace et la violence.

Nous avons besoin de tout votre soutien, que ce soit pour construire des barricades, les défendre, vivre en forêt, s’occuper de l’automédia, ou nous soutenir à distance, financièrement, matériellement ou par des actions décentralisées.

Merci de faire tourner cet article au maximum !

Contact : sauvonslaforet at riseup.net

Infos : vmc.camp

 

 

Quand la police s’occupe de vos encombrants

Face au harcèlement policier permanent qui se passe à Bure et ses environs : contrôles d’identité, contrôles routiers, guet-appent au bois de chaufour, courses poursuites, hélico qui passe pour nous regarder sortir des pommes de terre, passage au ralenti caméra à la main jusqu’à 30 fois par jour devant nos lieux de vie (que ce soit la maison de la résistance, les barricades en forêt ou les maisons personnelles d’opposant.es au projet CIGEO), on a décidé de mettre 4 tabourets symboliques sur la route devant la maison de la résistance pour les obliger à sortir de leur voiture pour les mettre de côté à chaque fois qu’ils passent. Encombrement temporaire destiné seulement aux flics, qu’on retirait au passage des habitant.es.

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10/09 : rassemblement contre les violences policières et pour l’interdiction des grenades assourdissantes

Article publié sur manif-est et repris par le site d’Anarchist Bure Cross

Suite à la manifestation du 15 août à Bure qui a fait de nombreux blessés graves parmi les manifestants, un rassemblement est organisé à Bar-Le-Duc, dans la Meuse, ce dimanche 10 septembre à 14h, afin de soutenir Robin, réclamer l’interdiction des grenades dites « assourdissantes », et dénoncer la violence des forces de l’ordre, qui mutilent en toute impunité.

30 personnes ont été blessées, dont trois personnes grièvement blessées, dont Robin, qui a été hospitalisé car une grenade a explosé sur son pied. Son pied a été perforé par la grenade, laissant un cratère de 10 cm par 13 sur une profondeur de 2 à 3 cm (voir l’article des médics de Bure, avec la photo). Il s’agit d’une blessure très grave, causée par une arme de guerre qui est présentée comme étant « non-létale ».

Le 15 aout 2017, des centaines de manifestants ont convergé à Bure dans le but de s’opposer au projet de poubelle nucléaire de l’état français. Vent debout contre cette farce mortifère, ils venaient affirmer, jeunes et vieux, agriculteurs et étudiants, enfants et grands parents, leur opposition déterminée. La gendarmerie mobile décidera de les empêcher de manifester sur le chemin prévu. Ils décident donc de rejoindre leur but à travers champs. Leur objectif était de rejoindre le site archéologique néolithique d’importance majeure mis à jour sur l’emprise du projet, afin de dénoncer sa minimisation par la mafia nucléaire.

Au bout de plusieurs heures de marche, la gendarmerie mobile décide de nouveau de freiner la progression des manifestants. Pour ce faire, et tandis que ceux-ci ne représentaient en rien un danger pour eux ou une quelquonque infrastructure, ils tireront au milieu des champs et de la foule des dizaines de grenades assourdissantes qui feront de nombreux blessés, et ce pendant que les gens refluaient. Ces tirs de grenades ont été effectués par des fusils lanceurs de grenades, à des dizaines de mètres de leurs cibles. L’une d’entre elle a touché Robin au pied, lui causant encore actuellement d’atroces douleurs et un futur à jamais modifié. Malgré cela, il ne perd pas espoir et encourage tous les hommes et femmes, en lutte maintenant ou plus tard, à ne pas céder à la fatalité policière et à la peur et à continuer de lutter sur tous les fronts, contre le nucléaire et contre le monde qui va avec.

La grenade aurait pu le tuer, lui ou un autre, si elle avait explosé près de sa tête, comme cela a été le cas pour Rémi Fraisse, mort à Sivens d’une grenade offensive, explosant dans son dos, interdite depuis. Une grenade offensive comportait 100g de TNT. La GLI F4 (détail de la grenade ici), la grenade assourdissante qui a touché Robin et tant d’autres en contient 25g. Quel différence y a t-il, à en juger par les blessures profondes et irréversibles infligées ? Aucune, cela dépend juste de l’endroit où tombe la grenade.

Malgré cette tragique actualité, et tous les mutilés et morts provoqués par les armes de la police, Macron et sa clique viennent de commander pour 22 millions de grenades lacrymogènes et explosives en tout genre, disant « commander l’arsenal nécessaire pour 4 ans de maintien de l’ordre ». Cette annonce, à quelques jour du coup d’envoi d’un nouveau mouvement social d’ampleur contre la casse des acquis sociaux, de la part d’un gouvernement qui sabre les budgets sociaux et accompagne les plus riches, et mutile ses opposants à peine 2 mois après avoir été élu, a un goût amer et dégueulasse.

Afin de ne pas laisser Robin et les autres mutilés seuls face à l’injustice,

Afin de montrer que malgré les armes et les abus des forces de l’ordre, nous serons toujours là, solidaires et determinés à poursuivre nos luttes,

Afin d’exiger l’interdiction de ces grenades semeuses de mort,

Retrouvons-nous ce dimanche 10 septembre à 14h devant la gendarmerie de Bar-le-Duc.

Soyons nombreux, emmenons des pancartes et des banderoles, retrouvons-nous pour soutenir Robin et les autres.

Rien ne nous arrêtera.

Fil Info manifestation du 15 août

Suivez ici en direct la manifestation contre le Tombeau nucléaire de Bure!

14h : C’est parti ! Après un pique-nique devant la salle des fêtes de Bure, le cortège de 500 personnes se met en route.

14h30 : Les gendarmes mobiles tentent de tuer la manifestation dans l’œuf en bloquant le cortège à la sortie de Bure.

14h50 : Nous décidons de les contourner en prenant une autre route. On n’arrêtera pas les manifestant.e.s (pas plus que les rejets de CIGÉO !).

15h30: Le cortège poursuit sa marche, s’égayant dans les champs autour de Saudron.

15h50 : Arrivée dans Saudron avec le son de la sono, petit temps d’arrêt et de danse !

16h10 : Plusieurs camions de gendarmes mobiles bloquent la sortie de Saudron. Tirs de grenades lacrymogènes, la manifestation reflue et doit se replier dans le champ d’un agriculteur.

 

 

 

Fil info juillet 2017

30 juillet : deux semaines avant les Bure’lesques !

Le fil info de Juillet a parfois été chargé en info tra’flics et en récits d’interpellations, en coups de pression et en descriptions ornithologiques. De l’extérieur, ça doit faire un peu zone de guerre mais rassurez-vous, on va bien, et Bure ça n’est pas que « police partout » : c’est surtout passer du temps à refaire le monde, cultiver des coins de jardins et des champs squattés, combattre le mildiou, bricoler dans des maisons fraîchement investies, détourner des affiches, faire un grand ménage de printemps (mais en été), écouter de la musique, se rencontrer, boire des coups, chanter, et bien sûr comploter contre l’Andra et son monde tout moche…

Alors pour (re)découvrir une Meuse bien vivante qui n’est pas que celle de la « nucléarisation », de la « militarisation » et d’autres mots qui font peur, n’oubliez pas le festival Les Bure’lesques du 11 au 13 aout. L’ensemble des collectifs, assos et opposant.es qui y sont investis travaillent d’arrache-pied pour en faire un moment inoubliable. Vous pouvez encore devenir bénévole en remplissant le formulaire en ligne.

27 juillet: gendarmes dans bure

7H: Un.e copaine interpellé.e dans le village de Bure probablement suite à la soirée du 14 juillet.

25 juillet: La musique adoucit les mœurs…

Mardi  25 juillet, tout est plutôt calme dans bure, hormis l’habituel et inutile balai incessant des flics.Une copine décide donc de s’installer sur la route pour jouer de l’accordéon en chantant, ce qui donne encore une fois une scène o% nos fiers gendarmes, qui souhaitent garder la route accessible pour leurs collègues, débarquent en fanfare mobilisant trois de leurs véhicules pour régler cette dangereuse situation (où tout autre véhicule avait libre passage) .

Notre heureuse copine continue de jouer et de chanter ignorant la flicaille rodant autour d’elle. Flics qui bien sûr ne souhaitent que mettre madame en sécurité hors de cette route, qui deviendrait presque une voie privée pour passage massif de poulets, surveillé depuis le ciel par le très familier hélicoptère. N’obtenant pas de réponse autre que de belles chansons, la flicaille décide donc d’embarquer la musicienne pour un contrôle d’identité.

Décidément il semblerait que pour les forces de l’ordre du sud meusien, la définition de voie publique soit « voie militaire réservée aux gendarmes ».

Et pendant ce temps là le professeur Abidou poursuit son étude ornithologique des poulets bleus au sein de son laburatoire et vous propose d’ores etdéjà d’adopter le disque de « Dernier contrôle » et de « Dernier passage » des gendarmes à imprimer et découper soi-même et disposer derrière son pare-brise ou sa fenêtre d’habitation.

 

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14 juillet: No table is illegal

Petit retour de la soirée burienne du 14 juillet

Une fête à la peau lisse

L’air était doux en ce soir de 14 juillet, et les habitant.e.s de la maison de résistance, accompagnées de leurs voisin.e.s venues de tous les villages alentours, ainsi que les cyclistes de passage de l’écotopia biketour festoyaient gaiement, fêtant les récents revers de Cigéo et la joie d’être ensemble.

C’est l’indisposition causée par le passage de 3856ème patrouille de police de la journée, rappel de l’intimidation constante que constitue l’état de militarisation du territoire, qui pousse alors les convives à installer leur table sur la chaussée flambante neuve en face de la maison de résistance, pour y banqueter dans l’allégresse et proposer aux prochaines patrouilles un itinéraire alternatif. Après manger, une partie de foot improvisée fut interrompue par deux gendarmes, demandant instamment de bouger la table, qui « gênerait les déplacements sur la voie publique. » Après leur avoir opposé un refus cordial mais ferme, assurant que nous écarterions la table pour laisser passer les tracteurs et moissonneuses (promesse tenue avec assiduité et célérité tout au cours de la soirée) , la fête se poursuivit tranquillement avec une partie de bowling-pétanque, alors que la patrouille suivante contournait la maison, provoquant quelques rires.

 

La coupure Dubois

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Coup de pression sur barricades sud et nord au Bois Lejuc

Samedi 1 juillet

Nouvelle pression policière ! A 18h, quatre fourgons se sont garés à l’antenne à quelques centaines de mètres du bois Lejuc avant de se rapprocher  de la vigie Sud. Une vingtaine de gendarmes sont sortis des camions en tenue anti émeute et menaçants. Pour les maintenir à distance nous avons allumé la barricade sud.

Pendant une heure, nous nous sommes retrouvés fac à face. Les gendarmes nous visaient avec des flashball mais ils n’ont pas tiré. Comme hier, cela ressemble à un exercice pour préparer une future expulsion.

Nous appelons dès maintenant à venir nous rejoindre pour défendre le bois Lejuc. Le mois de Juillet va être décisif vu les pressions policières.

Nous appelons également à venir lors de la journée de mobilisation du 15 août pour faire une grande manifestation et consolider l’occupation du bois Lejuc. 

vendredi 30 juin

C’est devenu classique. Tous les mois, on a le droit à notre petite virée de gendarmes mobiles. Sauf qu’aujourd’hui, ils étaient une bonne cinquantaine, flashball et bouclier en main et ils n’avaient pas le sourire. Ils se sont dirigés vers les premières barricades au sud tandis qu’au nord, une quinzaine de GM fouillaient la vigie Nord alors même qu’elle se situe sur le champ privé d’un ami agriculteur.

A 17 heure, l’opération policière a débuté, elle s’est terminée vers 18h30. On appelle tout le monde à rester vigilant, cela ressemble fort bien à une action de reconnaissance pour préparer une éventuelle expulsion. Les gendarmes nous ont assuré, « on est là pour un bon moment et on va se revoir ». On saura les attendre.

 

 

Fil info juin 2017

Mercredi 28 : Coucou Monsieur Bouillon (bis)

On vous parlait jeudi dernier des vitupérations de Monsieur Bouillon – député saucialiste et membre du conseil d’administration de l’ANDRA – à notre encontre. Si l’on en croit un article paru ce matin dans le Canard Enchaîné, ce preux pourfendeur de la « radicalisation extrême » devrait plutôt balayer devant sa porte avant de faire des vagues. Nous saurons lui rappeler le moment venu à quelle ridicule défaillance du système politicien tient le confortable fauteuil qui lui réchauffe le derrière à l’assemblée nationale !

Pendant ce temps, on mange nos premières courgettes du jardin, premiers pois, premières fèves, des salades à foison… C’est ça qu’on veut !!

 

 

 

Fil info semaine d’action

Dimanche 25 : Ballade familiale dans le bois

Une cinquantaine de personnes sont venues nous voir, partager une bonne bouffe à la Vigie Sud, avant de partir à la découverte des nouvelles installations dans les bois, les cabanes dans les arbres et autres joyeusetés.Certain.e.s n’étaient pas revenu.e.s depuis la chute du mur en août dernier !

A la gare, les chantiers agricoles avancent bien, le blé est magnifique, et les 1500 m2 de patates sont pratiquement désherbés.

La semaine d’actions touche à sa fin, mais plusieurs personnes ont bien envie de la prolonger, et commencent à bâtir leur nid en forêt !

Samedi 24 : On entend le bruit des bottes

Nous avons du faire face à un énorme dispositif policier. On compte une bonne centaine de gendarmes qui patrouillent dans les villages, interpellent et controlent les habitants du coin. L’hélicoptère est venu nous rendre visite plusieurs fois dans le bois, même la nuit. Des grilles anti émeute ont été érigées devant l’Andra pendant que les jeeps militaires sillonnaient les routes de campagne.  Sacrée ambiance !

On a préféré ne pas sortir ce soir, chanter au coin du feu et aller à la recherche des chauves souris qui peuplent le bois Lejuc !

A Mandres, les flics sont restés toute la nuit sur la place de l’eglise, en faction devant la mairie. Ils surveillaient les maisons des opposant.e.s avec de grandes lampes torches et marchaient dans le village endormi, mitraillette en mains.

Vendredi 23 : Boom! Boom! Boom! Boom!

« On ne considère plus cela comme une fête » titre aujourd’hui l’Est Républicain, citant les paroles du chargé de communication de l’Andra. Une accroche un brin dramatique… Nos amis du nucléaire en sont-ils donc réduits à jouer la carte de la peur et celle du mensonge éhonté (le prétendu sabotage de l’antenne, les fantasmatiques pressions sur les familles des élus) pour essayer de nous dépeindre en brutes sanguinaires? Ironiquement, à l’heure même où le numéro de l’Est Républicain était en train d’être bouclé, son titre était démenti dans les faits par une grande fête costumée non loin du rond-point regroupant hôtel, écothèque et laboratoire. Un peu de contre-propagande s’impose donc : ils ne considèrent plus cela comme une fête? Tant pis, nous considérons toujours cela comme une boom!

Hier on a tenté de nous diviser, de nous tendre un miroir d’ultra-violents pour voir si nous accepterions de jouer le jeu en tenant la partition que la préfecture aimerait tant nous voir jouer. Tout était prêt : le PSIG, fusil automatique à la main, paradant devant l’ancienne gare de Luméville, des dispositifs anti-émeute aux abords du laboratoire, des dizaines de fourgons de gendarmes mobiles, probablement bien plus nombreux que nous, un canon à eau aperçu sur une route des environs plus tôt dans la soirée… Bien tenté, mais on ne nous impose pas le tempo de notre radicalité. A partir de 22h, nous avons donc répondu en musique et en moquerie, en chansons et en feu d’artifice, en dance kitsh, en punk haletant, en salsa chaloupée.

« Gendarmerie nationale, dispersez-vous » : même ces mots-là sonnaient comme une tentative risible de nous faire rentrer dans leur concept, de faire de la danse un « attroupement ». Raté, nous ne sommes pas réductibles aux mots de la police. Nous avons ri et profité en musique des douces heures du soir, puis nous avons rebroussé chemin. Sur le retour, un boîtier vert contenant des outils de mesure installés par l’Andra a été incendié. Puis la gendarmerie s’est encore une fois illustrée par sa balourdise en suivant le cortège, en mettant pied à terre à l’entrée de Bure, tentant de déclencher l’affrontement qui n’est pas venu cette fois.

Alors oui, c’est toujours une boom d’anniversaire! Et sous le scandale des gros titres, dans la forêt, ce sont des solidarités qui se tissent, des discussions riches et puissantes sur notre propre radicalité, des chantiers qui avancent… Casseur-euses, danseur-euses, rêveur-euses : nous sommes tout cela à la fois, et bien plus. Bien plus en tout cas que leurs grossières tentatives pour nous étiqueter.

Il reste trois jours à celle belle semaine : on vous attend !

Jeudi 22 : Un communiqué très fair-play

Suite aux événements d’hier, nous avons reçu un communiqué du conseil d’administration de l’Andra qui remet, une fois n’est pas coutume, les pendules à l’heure. Coucou M. Bouillon !

C’est ici, à lire avec délectation !

PS – Méfiez-vous des imitations

Edit : Nous publions également une mise au point sur l’action du 21 juin et la propagande de l’Andra, qui vient compléter le communiqué de presse de la veille.

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